Depuis sa création en 1995, Camera lucida a produit des programmes innovants avec une ligne éditoriale centrée sur les thèmes culturels mais aussi des programmes sur les thématiques historiques et scientifiques. Programmes destinés à tous types de supports, du très grand format Imax 3D avec Moi, Van Gogh, aux applications musicales pour Ipad et Smartphone, en passant par la télévision, le web, et dernièrement la réalité virtuelle avec le projet The Enemy

Avec une cinquantaine de programmes produits par an, Camera lucida est un producteur de documentaires et spectacles vivants reconnu. Fort de son savoir-faire et de sa notoriété, la société continue d’investir tous les champs de la production audiovisuelle avec des œuvres portées par des collaborateurs de talent. 

 

La production de captations de spectacles fait partie de l’ADN de la société. Ces productions permettent de s’adresser à un large public au travers de diffusions sur tous les supports et de partenariats historiques (Comédie Française, Radio France, Opéra de Paris, Philharmonie...). Mais ils deviennent aussi des objets de création, s’appuyant sur les nouvelles technologies pour mieux rencontrer le jeune public. C’est ainsi que l’un des spectacles captés par Camera lucida dans la Cathédrale de Saint Omer a fait l’objet d’une captation à 360° disponible sur l’application ARTE 360. 

Les documentaires musicaux occupent aussi depuis toujours une place importante et reconnue dans le catalogue de Camera lucida. 

 

Camera lucida a également développé un véritable catalogue de portraits de grandes figures des arts et de la culture. Dernièrement et à l’occasion du cinquantenaire de son décès, c’est le grand Joseph Kessel qui a été mis à l’honneur dans un documentaire réalisé par Marie Brunet-Debaines Joseph Kessel, un lion pour ARTE France.

 

La collection documentaire fait aussi partie des savoir-faire de Camera lucida. Proposée par Stan Neumann, la collection Photo est devenue une référence et vendue partout dans le monde. Quant à la série découverte Histoire d’Arbres (10x52’) diffusée par ARTE et réalisée par Christophe d’Yvoire, Yannick Cherel et Henri de Gerlache, elle a su toucher un large public que ce soit en France mais aussi à l’international grâce aux nombreux diffuseurs internationaux qui ont acquis ses droits. 

 

A côté de ces productions aux formats traditionnels et pour répondre à un besoin de plus en plus important des chaînes de proposer des programmes en ligne, Camera lucida est à l’initiative et à la manœuvre d’un programme de- venu une référence pour tous les cinéphiles : Blow up. Ce magazine, qui propose toutes les semaines une nouvelle édition sur le site de Arte Cinéma a fêté fin 2017 sa 300ème avec son réalisateur et concepteur, Luc Lagier. 

 

Aussi, Camera lucida fait partie des quelques sociétés françaises qui se sont engagées dans le développement de programmes en réalité virtuelle, autour de projets très novateurs et ambitieux tels que The Enemy, programme de réalité virtuelle coproduit par France Télévisions Nouvelles Écritures, l’ONF (Cana- da), Dpt., Emissive, avec le soutien du CNC et de l’INA. Considérée comme l’une des expériences en réalité virtuelle les plus abouties, elle nous permet de développer de nouveaux formats situés à la frontière entre programmes télévisuels et jeux vidéo. Grâce à The Enemy, Camera lucida a su créer des partenariats avec les organismes américains les plus prestigieux : le MIT, les Festival Tribeca et Sundance. 

 

Enfin, fort de son expérience de travail avec les musées et institutions culturelles, Camera lucida propose aujourd’hui de répondre aux besoins de celles-ci au travers d’une activité de films de commande, le plus souvent muséographiques. Une activité qui permet de mettre à la disposition d’un autre public les savoir-faire développés par la société. 

Camera lucida continue à défendre une culture vivante et accessible tout en ayant à cœur de porter des programmes innovants.